La date du G20 avait été proposée par Nicolas Sarkozy et George W. Bush l'a acceptée. Sarkozy a parfaitement calé son plan média. Il embarque avec lui des journalistes pour assurer la une des éditions de la presse dominicale, histoire de faire passer au second plan le congrès de Reims. En dehors de polluer la "grand-messe-socialiste", le G20 n'est pas encore le fameux "Bretton Woods II" dont rêvait Nicolas Sarkozy.
Ces quelques mots, juste pour vous donner les ambitions de Nicolas Sarkozy. Ils ne sont que politiques!
Commentaires