Pour moi, le pire est peut-être derrière nous, mais il y a encore tellement d'inconnues qu'on ne peut pas parler d'une fin de crise. Personne ne parle actuellement des dettes de cartes de crédits en Amérique. La somme globale non-récupérable pour les banques dépasse largement le montant qu'a coûté la crise actuelle. Le passé nous l'a appris : Si l'Amérique va mal, alors l'Europe souffre aussi. Les crédits des cartes de crédits ont été en partie rachetés par nos banques européennes... Certains hommes politique disent qu'il n'y aura plus de crise quand le chômage va descendre. Pour moi, il faudra d'abord qu'il n'y ait plus de crise afin que le chômage puisse descendre. Rien qu'en France, on prédit encore 70 000 faillites de petites entreprises. Cela fera encore 300 000 chômeurs en plus jusqu'à la fin de l'année. Je pense aussi que les statistiques sur le chômage sont manipulés aussi bien qu'en France qu'en Allemagne. Rie
Une analyse des actions des politiciens.